mardi 31 janvier 2012

Publication des résultats 2011 du groupe Partouche

La publication de ce soir nous montre que les effets des 2 AK et l'arrivée de Buttler au capital de cette société semble coïncider avec un timide redressement de la rentabilité.
L'année 2012 sera plus significative car les plus gros foyers de pertes auront disparu sauf  pour la partie online qui est abominable ..
Le online est toujours dans une grande peine pour tenir ses objectifs de conquête et fait toujours figure de nain face à Pokerstars et Winamax .
Il faut espérer que la meilleure santé des casinos puisse donner des moyens supplémentaires pour développer l'activité online et au moins arriver à l'équilibre en 2013 ou 2014 !
Les investissements online sont nécessaires et le développement cette année en Belgique , puis peut être en Suisse devraient faire baisser le point mort.

L'endettement financier se réduit et nous attendons toujours la vente d'un ou de plusieurs hôtels pour atteindre un endettement acceptable.
Peut être en 2012 ?

Pour résumer : Je conserve la valeur  avec un objectif de 3.75 euros dans 18 mois. Cette conviction tient au fait que je n'attends plus aucune mauvaise nouvelle sur la valeur.
Au contraire, l'annonce d'un redressement du online ou de la vente d'un hôtel pourrait booster le cours de bourse.


Communiqué de presse de la société Partouche ci dessous :
http://gp-cms.com/base/core/commons/website~101/Communiques/Groupe_Partouche_Resultats_annuels_2010-2011.pdf

vendredi 27 janvier 2012

AFONE : chiffre d'affaire 2011

http://www.afone.com/Institutionnel/docs/2011/AfoneCAT42011.pdf

Ce chiffre d'affaire ( lien ci-dessus ) est conforme aux attentes , mais le communiqué n'aborde pas la manière dont afonemobile et Leclercmobile vont réagir face à l'offensive de Free.

Déjà sur le site afone une nouvelle offre avec téléphone fourni pour 1 euro qui semble être compétitive face à l'offre free. Il est évident que la rentabilité de la partie mobile chez Afone va fléchir ! Mais de combien ?
Free va t'il continuer sa guerre commerciale  ? Ces questions ne sont pas encore tranchées...
Nous devons être plus prudent et je réduis mon objectif de cours à 18 mois à 15 euros. en conservant la valeur mais sans se renforcer en cas de baisse pour le moment.
http://www.afonemobile.com/

mardi 17 janvier 2012

samedi 14 janvier 2012

Historique de la crise ( suite et pas fin )

Historique de la crise :

Le 13/1/2012   S&P frappe l'ensemble de la zone euro, à l'exception de l'Allemagne :

Deux pays de la zone euro, dont la France, ont perdu vendredi leur note triple A, sept autres ont vu leur note abaissée et restent sous la menace d'une nouvelle dégradation, seule l'Allemagne étant épargnée par l'agence de notation Standard and Poor's (S&P).
La première économie européenne a vu non seulement confirmé son précieux triple A, qui lui permet d'emprunter à bas coût sur les marchés, mais S&P a aussi affirmé qu'elle n'envisageait pas de changer son point de vue dans les mois qui viennent.
La France, deuxième économie en Europe, a en revanche perdu sa note AAA, une décision largement anticipée par les marchés, mais qui a contraint le président Nicolas Sarkozy a convoquer d'urgence une réunion de crise.
L'agence d'évaluation financière a abaissé de deux crans les notes de l'Italie, de l'Espagne, du Portugal et de Chypre, ces deux derniers Etats étant relégués dans la catégorie des investissements spéculatifs, selon un communiqué publié en fin de soirée.
L'Autriche, qui perd aussi son "triple A", ainsi que Malte la Slovaquie et la Slovénie sont dégradées d'un cran avec la France.
En revanche, les quatre autres pays notés AAA (Allemagne, Finlande, Pays-Bas et Luxembourg) conservent leur prestigieuse distinction, tout comme la Belgique, l'Estonie et l'Irlande qui ne sont pas dégradées.
Après cette décision, S&P maintient tous les pays de la zone euro, hormis l'Allemagne et la Slovaquie, sous perspective négative, ce qui signifie que l'agence estime à une sur trois les chances d'un nouvel abaissement en 2012 ou 2013. La Grèce était déjà sous perspective négative.
L'agence de notation américaine avait prévenu le 5 décembre qu'elle envisageait d'abaisser la note souveraine de 15 des 17 pays de la zone euro, y compris celle de l'Allemagne. En épargnant cette dernière, mais en sanctionnant la France, l'agence consacre un décrochage entre les deux économies les plus importantes d'Europe.
"De notre point de vue, les initiatives prises par les responsables européens au cours des dernières semaines pourraient être insuffisantes pour répondre totalement aux problèmes systémiques en cours de la zone euro", a jugé S&P dans un communiqué.
Plusieurs responsables politiques, à commencer par le ministre français des Finances François Baroin, ont minimisé cette décision, anticipée dès vendredi après-midi, y compris par les marchés qui n'ont pas cédé à la panique.

Publié le 23/11/2011
FESF : la proposition française n'est "plus sur la table"
La proposition de la France, qui souhaitait accorder une licence bancaire au Fonds de soutien de la zone euro pour qu'il puisse se refinancer auprès de la Banque centrale européenne, aurait été abandonnée samedi, selon le ministre des finances néerlandais. Une réunion entre Merkel et Sarkozy doit avoir lieu dans la soirée.


Publié le 22/10/2011
"Les Français ne bougent pas d'un iota" se plaint Merkel
Les divergences entre la France et l'Allemagne inquiètent avant le sommet européen pour résoudre la crise de la dette européenne, dimanche. Berlin essayaient vendredi de faire pencher la balance de son coté.

Publié le 21/10/2011
Zone euro : Berlin et Paris peinent à s'entendre
Après une première rencontre mercredi soir, Angela Merkel et Nicolas Sarkozy doivent donc se retrouver samedi à la veille du sommet européen pour préparer une "réponse globale et ambitieuse" à la crise... et prévoient déjà un autre sommet mercredi.

Publié le 20/10/2011
Crise européenne : Sarkozy discret à Francfort, rien n'a filtré
Le président de la République s'est rendu à Francfort mercredi pour faire avancer un accord sur le règlement de crise de la zone euro. Nicolas Sarkozy a quitté la séance de discussions avec Angela Merkel et d'autres responsables politiques sans faire de commentaire sur son contenu.

Publié le 19/10/2011
Grèce : manifestations monstre, le projet de loi de rigueur adopté
Le projet de loi sur les nouvelles mesures d'austérité en Grèce, vivement contesté dans la rue mercredi, a été adopté dans la soirée par le Parlement lors d'un premier vote "sur le principe". Un second vote définitif sur les articles et sur l'ensemble du projet de loi est prévu jeudi soir.

Publié le 19/10/2011
La Grèce sous tension avant "la mère de toutes les grèves"
Alors que le gouvernement grec compte voter des nouvelles mesures d'austérité exigées par l'Union européenne, la Grèce se prépare à vivre 48 heures de grève générale. Sur fond d'extrême tension sociale dans un pays déjà exsangue.

Publié le 19/10/2011
Sommet européen : Sarkozy dramatise, Merkel relativise
Nicolas Sarkozy et François Fillon ont donné un ton dramatique, mardi, aux prochains rendez-vous internationaux : le conseil européen de dimanche sur la crise de la zone euro et le G20 de début novembre.

Publié le 18/10/2011
Grèce et zone euro : début d'un week-end marathon
Le sommet européen qui a débuté ce vendredi à Bruxelles sera marqué par les divergences entre Paris et Berlin sur le rôle du fonds de secours européen. Dimanche, lors du sommet des chefs d'Etat, c'est même la récession possible de l'Europe qui est en jeu.

Publié le 21/10/2011
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Sauvetage de la zone euro : pourquoi l'Allemagne bloque
Publié le 23 novembre 2011

DECRYPTAGE - Angela Merkel et Nicolas Sarkozy rencontrent ce jeudi le successeur de Silvio Berlusconi. Ce dernier pourrait jouer le rôle d'arbitre entre Paris et Berlin sur le renforcement du rôle de la BCE.
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FESF : la proposition française n'est "plus sur la table"
Publié le 22 octobre 2011

La proposition de la France, qui souhaitait accorder une licence bancaire au Fonds de soutien de la zone euro pour qu'il puisse se refinancer auprès de la Banque centrale européenne, aurait été abandonnée samedi, selon le ministre des finances néerlandais. Une réunion entre Merkel et Sarkozy doit avoir lieu dans la soirée.
Vue : 29 401 fois
"Les Français ne bougent pas d'un iota" se plaint Merkel
Publié le 21 octobre 2011

Les divergences entre la France et l'Allemagne inquiètent avant le sommet européen pour résoudre la crise de la dette européenne, dimanche. Berlin essayaient vendredi de faire pencher la balance de son coté.
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L'avantage : une telle solution permettrait d'éviter d'attendre une réforme des traités, sur laquelle se sont accordés les deux dirigeants cette semaine et prévoyant une rigueur accrue des finances publiques, mais susceptible de traîner en longueur. "S'appuyant sur ces mesures", poursuit le journal, "il devrait y avoir une majorité au sein de la Banque centrale européenne pour une intervention plus forte sur les marchés de capitaux". Egalement cité par le Welt am Sonntag, un banquier central assure : "Si les politiques se mettent d'accord sur une démarche globale, la BCE viendra à la rescousse".

Trouver une parade avant le 8 décembre

Il y a urgence : cette semaine, les deux principales économies de la zone euro ont été la cible des marchés et agences de notation, signe que la tempête n'épargne plus personne, même les Etats considérés il y a peu encore comme invulnérables. Les agences Fitch et Moody's ont ainsi accentué la pression sur la France en laissant planer la menace d'une perte de sa note "AAA", gage d'excellence sur les marchés. Plus surprenant, l'Allemagne n'a pas réussi à attirer autant d'investisseurs que voulu lors d'un emprunt obligataire mercredi. Résultat : les Cassandre donnent de la voix pour prédire une fin imminente de la zone euro. Dans une interview au quotidien français 20 minutes, l'ancien conseiller du président français François Mitterrand Jacques Attali estime qu'il y a "plus d'une chance sur deux pour que la monnaie unique ne soit plus là" d'ici la fin de l'année. D'où le branle-bas-le combat général dans toute la zone euro, pour trouver la parade en vue d'un sommet des dirigeants européens les 8 et 9 décembre qui s'annonce à nouveau comme crucial. Car il apparaît désormais évident que le Fonds de secours financier de la zone euro qui devait s'atteler à éteindre l'incendie n'a pas les moyens nécessaires pour empêcher la faillite de pays aussi importants que l'Italie et l'Espagne. En outre, les travaux engagés en vue de renforcer sa force de frappe à 1000 milliards d'euros peinent à progresser.

Mais Angela Merkel est restée jusqu'à présent publiquement inflexible sur une éventuelle évolution du rôle de la BCE, dernier recours si le Fonds de secours s'avère insuffisant. Tout au plus la chancelière allemande et le président français ont-ils conclu à Strasbourg un cessez-le-feu sur la BCE en acceptant de s'abstenir de lancer des appels dans un sens ou l'autre. Dans l'entourage du chef de l'Etat français, on s'est réjoui de ce que la position permette de facto à la BCE d'intervenir de son plein gré sans que cela suscite des critiques de Berlin. L'idée étant qu'au moins Berlin ne mette pas de bâtons dans les roues du conseil des gouverneurs de la BCE si une majorité devait s'y dessiner - contre l'avis de la Bundesbank allemande - pour sortir l'artillerie lourde et racheter en très grande quantité des obligations sur les marchés.

L'hypothèse évoquée par le Welt am Sonntag devrait donc précisément permettre de lever les freins au sein de la BCE pour intervenir massivement sur les marchés. En échange d'un pacte de stabilité "recentré" - sachant qu'il engage actuellement les 17 pays de la zone euros à limiter les déficits budgétaires à 3% du PIB, et l'endettement à 60% du PIB. Une porte-parole du gouvernement allemand a d'ores et déjà confirmé l'existence de discussions notamment avec la France pour un renforcement de l'Union économique et monétaire à propos d'un changement limité des traités existants. L'Allemagne et la France souhaitent néanmoins "contribuer (...) par des vues communes de manière appropriée", a-t-on souligné. Le président du Conseil européen, le Belge Herman Van Rompuy a été officiellement chargé de faire ce type de propositions, a-t-on rappelé.

Comme nous pouvons le lire, malgré la prise de conscience de la zone Euro , il reste des divergences entre les pays du Nord et du SUD et cela sera encore plus évident avec cette dégradation.
Les risques sont encore très importants de voir la crise Européenne de la dette affoler de nouveau les marchés !
De même la semaine prochaine, moody's devrait dégrader aussi l'Europe.
Il faudra résoudre rapidement pour les Européens ( peut être au sommet de fin Janvier ? ) les points suivant :
1/ la Grèce qui n'a toujours pas touvé un accord pour sa dette avec les banques.
2/ Le rôle de la BCE avec un assouplissement de sa politique ? ( les pays de nord sont opposés à cette politique)
Le seul point positif à cette dégradation est la baisse de l'Euro ce qui peut rendre un peu de compétitivité pour la zone Euro.

jeudi 5 janvier 2012

mardi 3 janvier 2012

PRUDENCE sur le CAC 40

La hausse de la bourse en ce début d'année peut faire espérer des jours meilleurs ?
Mais doit on pour cela rentrer sur le marché à marche forcée ?
Il est certain que la crise de la dette en Europe est sous contrôle mais ... Car il y a un mais..même plusieurs ..

Quelques exemples : les négociations sur la dette Grecque ne sont toujours pas terminées.
L'Espagne vient de battre son record sur le taux de chômage et son déficit budgétaire devrait dépasser largement les prévisions.
La France va être sûrement dégradée sévèrement.

Il y a encore bien d'autres mais... Ces nouvelles vont bientôt revenir dans l'actualité et le climat optimiste va s'évanouir ! Une seule chose soutient le marché : la relative croissance de l économie Américaine.


Bonnes année à toutes et à tous